La mention faite à la goal dilution theory par Rory Sutherland dans ce talk* est bonne à garder sous le coude.
Ce modèle montre que lorsqu’un comportement est motivé par plusieurs objectifs (ex : faire du sport pour a/perdre du poids, b/être en bonne santé, c/arrêter de fumer, d/se sentir mieux dans sa peau…), il est moins efficient que lorsqu’il est motivé par un seule objectif (ex : faire du sport pour perdre du poids).
Par plus efficient, on entend être choisi par les gens à qui on suggère de faire du sport.
De quoi se convaincre d’être plus synthétique dans ses discours commerciaux (sans pour autant nier la richesse des arguments par type de public ou contexte de communication) ou managériaux…
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Le fameux “less is more”.
L’image d’intro est particulièrement vraie, et la Fnac, Boulanger ou toutes les enseignes qui nous refourguent des PC avec des dizaines de mentions devraient y réfléchir…
Sur le coté 1 seul objectif est plus puissant que plusieurs, je dirais que ça se voit actuellement avec Nike vs Adidas.
Nike prend toujours une unique promesse de campagne, forte et engageante :
Your time is now, Write The Future…
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Pas faux effectivement. Cette observation se vérifie aussi dans la cohérence dans le temps des marques. Merci pr le comment !
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[…] ne suffit évidemment pas à faire changer un comportement… (mieux vaut être choisi, non stigmatisé, détourner l’attention de l’objet final, feedbacker […]
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