Il y a quelques semaines, j’ai posté cet extrait d’une formation interne. Elle a généré pas mal de réactions.
Je me suis dit que j’allais essayer de démystifier quelque chose qui a historiquement le don de me gonfler : les amalgames.
La bonne nouvelle, c’est qu’on doit être 4 dans le monde à être gênés par cet amalgame, donc cette note ne devrait pas attirer de trolls.
Le point en question : la différence entre un cluster, un segment, une persona, une cible et une audience. Voici mon humble vision des choses, toute remarque est la bienvenue :
Le marché peine déjà à unifier ses méthodes de travail, je propose que nous arrêtions de créer des fausses différences via du jargon pour tenter mutuellement de se duper sur nos prétendues expertises.
A la fin de la journée : une étude usages & attitudes inspirer des segments marketing ou des persona, ces derniers inspirant des cibles et/ou un score CRM.
Faisons la paix.
[…] rapport à mon post d’hier, un collègue, dont je tairai le nom, me demande pourquoi je n’ai pas inséré les insights […]
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[…] Il pensait avoir défini une persona, vous n’imaginez pas ce qu’il a découvert à la place […]
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[…] : qu’il s’agisse d’un utilisateur de site/app ou d’une cible de messages. C’est tout. C’est une très bonne technique pour aider les gens à se projeter dans d’autres vies […]
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