Hier cette étude Warc étrillait les planneurs et leurs travers.
En voici un qui ne se laisse pas faire.
Martin Weigel vient de poster sur son blog une version revisitée de sa présentation a case for chaos. Il évoque les mêmes sujets que dans le topo Warc mais en leur apportant des solutions, des réponses et de l’énergie résistante.
On aime ou on n’aime pas son point de vue – je l’ai moi-même parfois trouvé trop sectaire – mais il a le mérite de défendre sa chapelle d’agence créative dans un paysage qui se fragmente en faisant la part belle aux ingénieurs.