A force d’empiler les appels d’offre, les RFI, les chemistry meetings et autres soutenances, on finit par acquérir une forme *d’expérience de la présentation*.
Un des sixièmes sens des plus étranges glané au fil des diapositives, c’est l’identification des informations à valeur dans un PowerPoint.
Plus ça va et plus les informations qui vont faire mouche semblent être différentes de ce que j’imaginais initialement, c’est troublant, dans le bon et le mauvais sens.
Qu’est ce qui va parler au client/prospect? Lui décocher une flèche dans le coeur? Le cerveau? Le portefeuille? Quel mot, image, phrase, idée, va différencier notre proposition des agences/prestataires concurrents?
Plus ça va et plus les informations qui font mouche s’identifient, s’apprivoisent, se domptent, se laissent monter.
Plus ça va et plus ces informations sont simples, évidentes, sous notre nez.
La beauté d’une présentation, c’est révéler une évidence qu’on ne pourra plus jamais ignorer après vos slides.