J’ai trouvé amusant cet article des Echos qui fait état de l’utilisation de Twitch par les analystes de l’industrie pour grappiller des données.
La majorité des entreprises de l’industrie n’étant pas cotées, peu de données filtrent sur leur taille, leur dynamisme, leur fans.
A la manière des réseaux sociaux, chaque chiffre mis à disposition du marché devient donc immanquablement une variable visant à expliquer quelque chose : la popularité, le taux d’engagement, le taux d’interaction, le NPS…
Je trouve amusant que la révolution numérique – défendant fréquemment l’ultra transparence – soit encore aussi dépendante du secret industriel.