Cet article parlant de l’ouvrage Le Pire n’est pas certain – Essai sur l’aveuglement catastrophiste de Catherine Larrère et Raphaël Larrère est un soulagement.
Décrire la collapsologie – qui a eu un impact massif dans ma vie et mon entourage – comme *un mouvement qui tend à dépolitiser l’écologie et à se renfermer dans l’inaction* est une joie.
Si je prends très au sérieux la convergence des faits énoncés – j’avais presque envie de dire anonnés – je me sentais en rupture de ban vis à vis du pessimisme collapso face aux réactions possibles.
Faire profession de foi de l’impuissance est une rhétorique moyenâgeuse, où les citoyens n’ont plus d’autres choix que d’accepter le destin. On se croirait avant avant le grand schisme protestant.
Bref, ce livre – que je vais m’empresser de lire – nous redonne espoir pour construire un monde carbone neutre plus juste et plus tolérant. Sans être taxé de négationniste ultra libéral.