Parmi les phénomènes étonnants de notre époque : le rachat des droits musicaux par des fonds d’investissement.
Comme le signale un individu interviewé dans cet article :
Music is part of the fabric of society and investors have woken up to the fact that songs generate income in good times and bad.
Des fonds spécialisés s’intéressent aux catalogues, pour ce qu’ils représentent des sources immenses de revenus non exploités :
“With the advent of Spotify, 30 million records woke up and got a new life,”.
La raison, comme souvent, est technologique :
Mercuriadis argues that the rise of paid streaming subscriptions has made royalties linked to proven hits a far more valuable asset.
La réalité du marché du streaming, c’est qu’il est beaucoup plus facile de tracer les usages de la musique (concert, publicité, échantillonage, exploitations commerciales en tout genre).
Voici en environnement typique où la blockchain aurait de la valeur.
Ce que j’en retiens : les goûts musicaux s’archipellisent aussi, et ceux qui ont compris que les majors ne disposaient plus du monopole du bon goût ont un super coup à jouer.
Voici l’article au complet :