2. Inventées après l’universel football, les règles du rugby ont été volontairement compliquées pour éduquer les hommes à l’éthique de l’humilité. Merci Mehdi
2. Le micro dosing : prendre des drogues en petite quantité pour avoir un petit effet.
3. « Perdre son âme pour un plat de lentilles » et « qui va à la chasse perd sa place » descendent de la même histoire dans la Bible : Esaü et Jacob.
4. La poitrine de Lara Croft a d’abord été une erreur de développeur, avant d’être applaudi par le marketing.
5. Cette scène de Spiderman 3 a coûté 100 millions de dollars. C’est la plus chère de l’histoire.
6. Il y a plus d’effets spéciaux dans The social network que dans Godzilla.
7. David Droga a nommé son agence à partir du nom que sa mère cousait dans ses étiquettes de vêtements : Droga5 (David étant le 5e d’une fratrie de 6). Merci Benoit
9. Plutôt que de signer un chèque aux restos du coeur américains, Toyota a offert du temps d’ingénieurs pour optimiser la file d’attente, de 90 à 18 minutes en moyenne.
10. Comme de nombreuses chaines de magasins, le premier revenu de McDonalds n’est pas l’alimentation mais les loyers de ses franchisés.
Saatchi LA et Watson ont monté une campagne à 1000 accroches.
“Thousands of Ways to Say Yes” a commencé par la rédaction de 50 accroches par des humains. Watson les a étudié. Ensuite Watson est allé naviguer dans un corpus de sites au wording proche de la cible de geeks de la voiture.
A partir de ce moment Watson se met à écrire des phrases. L’humain réintervient pour “entrainer l’IA” pour lui indiquer les bonnes et mauvaises phrases.
Le résultat n’a rien de dingue mais pave la voie à des idées d’une nouvelle espèce.
Pour rappel, la méthodo BrandZ de WPP (source BrandZ 2013) : Bonding : You have a very strong relationship based on a broad set of positive activities DOWN : You may prefer to keep a wide repertoire of brands to choose from Advantage : UP : The brand delivers something more than other brands, so you choose it more often DOWN : The brand may be matched by others Performance : UP : Your experience meets with your expectations of the category DOWN : It doesn’t do what you expect, the brand disappoints you Relevance : UP : Is this a brand that meets your needs and fits your pocket? DOWN : It’s not your sort of thing, or is priced outside your range Presence : UP : A relationship starts with awareness of an experience DOWN : You are not reminded about itMême exercice sur la catégorie des Banquassurances. Source BrandZ 2013Même exercice pour les marques de retail. Source BrandZ 2013
Pourquoi l’immense majorité des brand funnels ont la forme – plus ou moins disgracieuse – d’un entonnoir?
On peut difficilement être considéré sans être connu (encore que). Faut-il pour autant travailler ces items dans un “ordre”? Est-ce que ces items s’alimentent en cascade (faut-il commencer par être connu pour ensuite bosser sa considération et sa préférence)?
En y réfléchissant, on peut faire de la notoriété qui ne travaille pas la considération alors qu’on ne peut pas faire de considération qui ne fasse évoluer la notoriété. Pourquoi se priver de faire travailler plusieurs variables à la fois? Pourquoi ne pas directement bosser la préférence? Elle fait vendre non? On dit que la différence entre le bonding et l’advantage, c’est 50% de taux de nourriture vs. 20%.
Par ailleurs, quel est le pouvoir de prédiction de ces données? On se rend compte que l’étape de préférence est corrélée à la part de marché d’une marque. Les brand funnels ne sont qu’un reflet d’une situation qu’il est impossible d’expliquer autrement que par la théorie de “la pénétration d’abord, le reste suivra” propre à Byron Sharp.
Les flèches d’un funnel fonctionnent à l’envers.
Plus tu as une part de marché, plus tu es considéré, familier et connu. C’est flagrant sur cet autre tableau comparant les funnels de marques auto :
Benchmark de la catégorie auto composé de (dans le désordre) BMW, Citroën, Mercedes, Renault, Dacia, Ford, Fiat, Toyota, Opel, Nissan, Peugeot, Volkswagen, Kia, Hyundai, Audi.
La part de marché dépend moins d’une brand equity que de variables telles que le nombre la DN et la DV.
La taille fait la performance (cf. loi du double jeopardy*). C’est cruel mais c’est comme ça. Les funnels sont des entonnoirs dans lequels le flux remonte.
Meilleurs voeux pour cette nouvelle année à venir ! En guise de premier article 2013, voici une compilation des faits marquants de l’année passée sur Notre Lien Quotidien.
Tout d’abord, merci à tous. Vous faites vivre ce blog. Vos visites et vos contributions le portent.
En 2012, NLQ a observé environ 120 000 visites. Je ne dispose pas des comptes de visiteurs uniques (ce blog n’a jamais souhaité se monétiser) mais si l’on en juge par la dernière mise à jour WordPress qui apporte cette granularité, on constate une moyenne de 1,75 visites par visiteur sur le mois de décembre dernier. En outre, le nombre de visites est en croissance continuelle depuis 5 ans.